Pour mon premier projet, j’ai décidé de venir en aide aux communautés les plus fragilisées, en mettant en place des programmes visant à améliorer les conditions de vie des populations défavorisées. Je crois fermement que chaque personne mérite de vivre dans la dignité, avec un accès à la santé, à l’éducation et à des conditions de vie décentes.
C’est dans ce cadre que j’ai aidé à financer un restaurant de quartier (appelé « maquis ») à Abidjan, pour un montant de 300 €, dans le cadre d’un projet pilote.
J’avais été sollicité dans le cadre d’une demande de partenariat pour un projet en faveur de l’autonomie des femmes.
En effet, les femmes ont moins accès aux études longues, et sont souvent dépendantes financièrement de leurs parents, puis de leur mari.
Ma vision est d’aider les personnes en difficulté à atteindre l’autonomie financière, plutôt que de leur verser régulièrement de l’argent dans une logique d’assistanat.