Dans le cadre de mon second projet, j’ai choisi de concentrer mes efforts sur un petit village de pêcheurs particulièrement isolé et vulnérable. L’objectif était de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des habitants, en leur fournissant les moyens de renforcer leur autonomie, notamment sur le plan alimentaire et économique.
Convaincu que chaque individu a droit à une vie digne — avec un accès fondamental à la santé, à l’éducation et à un environnement stable — j’ai décidé de soutenir l’initiative locale d’une rizière communautaire.
Concrètement, j’ai participé au financement de matériel agricole, pour un montant de 250 €, afin de permettre la mise en culture d’une première parcelle de riz. Ce projet pilote a été mené en partenariat avec des acteurs locaux dans le cadre d’un programme axé sur l’autonomisation des femmes.
Dans cette région comme ailleurs, les femmes sont souvent exclues des parcours éducatifs longs et dépendent économiquement de leur entourage familial ou conjugal. Or, leur redonner du pouvoir d’action passe avant tout par la création d’activités génératrices de revenus.
Cette approche s’inscrit pleinement dans notre vision : encourager des solutions durables, qui permettent aux personnes de retrouver leur autonomie, plutôt que de les maintenir dans une logique d’assistanat.